vendredi 8 mars 2024

Puisque Macron est "sans limites"...

Le 7 mars 2024, à l'issue d'une réunion ou Branquignole dernier a réuni les "chefs de partis" afin de faire le point sur "l'accord de coopération en matière militaire avec l'Ukraine" qu'il souhaite leur faire voter au parlement, ce dernier a osé déclaré qu'il ne fixe "aucune limite" dans notre engagement militaire CONTRE la Russie. Le fou à lier usurpant actuellement les fonctions présidentielles est effectivement "sans limite". Sa jupitérienne saleté n'a que faire de ces fameuses lignes rouges qui régissent la Paix et la Guerre, la vie et la mort de millions de gens, l'abondance et les cendres. Un détraqué aux relents psychotiques et assurément traître à la patrie jusqu'à la rognure d'ongle règne actuellement sur nos destinées sans que personne ne vienne à songer qu'il serait de salut public que de le neutraliser. 

Ce n'est certainement pas un parlement constitué de félons et de demi-collabos, tous plus préoccupés par leur carrière politique et leurs frivolités sur des sujets qui ne relèvent jamais de nos intérêts nationaux, qui fera obstacle aux désirs morbides de l'usurpateur. Un demi-dingue, se rêvant chef de guerre leur explique qu'il veut nous envoyer nos troupes en Ukraine contre la Russie et ces chiwawas idolâtres de Bruxelles, réfléchissent comment accommoder leurs discours russophobes et militaristes à leur fausse indignation des nouvelles éructations macroniennes.

L'attitude du dangereux sociopathe Macron est celle du larbin zélé des américains voulant se faire plus royaliste que le roy. A tel point que la diplomatie américaine a dû donner une tape sur la truffe de leur teckel élyséen. Non seulement il révèle ouvertement le secret de Polichinelle sur le fait que l'Armée française participe déjà aux opérations de renseignement et de lancement de missiles SCALP ainsi que les obus dont les équipements de désignation de coordonnées imposent que des militaires français formés à ces procédures relevant du secret défense soient présents et pro-actifs.

Si son projet de coopération militaire indécent de bellicisme et de dangerosité manifeste contre la Paix en France date du 16 février 2024, les soldats français envoyés sur ses ordres en Ukraine, sans qu'aucun traité d'assistance militaire mutuelle nous relie avec ce pays non membre de l'UE et l'OTAN, sont d'ores et déjà présents depuis l'envoi des premiers missiles SCALP  en juillet 2023 et des canons Caesars sur le front depuis avril 2022. Ce qui signifie que des soldats français ont délibérément porté atteinte à la vie de soldats et civils russes. Ce qui peut susciter légitimement, en représailles, une déclaration de guerre de la Russie suivie de vagues de bombardements majeurs sur le territoire français dans la dernière des extrémités. C'est donc une grave atteinte, parfaitement délibérée, à la préservation de notre intégrité territoriale et de la sureté des personnes telle que sanctuarisée par l'article 410-1 du Code pénal. Engager les forces militaires de la France dans un conflit qui nous est extérieur et en provoquant délibérément une puissance nucléaire majeure, relève à ce titre de la trahison à plus forte raison si aucun traité nous engage avec l'un des deux belligérants.

Pour rappel :

Art. 411-2 du Code pénal :

Le fait de livrer à une puissance étrangère, à une organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou à leurs agents soit des troupes appartenant aux forces armées françaises, soit tout ou partie du territoire national est puni de la détention criminelle à perpétuité et de 750 000 euros d'amende.

Art. 411-3 du Code pénal :

Le fait de livrer à une puissance étrangère, à une entreprise ou une organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou à leurs agents des matériels, constructions, équipements, installations, appareils affectés à la défense nationale est puni de trente ans de détention criminelle et de 450 000 euros d'amende.

Et afin de clarifier parfaitement le fait que la neutralité et la cobelligérance sont parfaitement définies dans le droit international public ratifié par la France (et dont l'article 5 de notre constitution oblige le Président de la République à le respecter SCRUPULEUSEMENT) : évoquons donc l'article 4 des conventions de La Haye sur les droits et devoirs des puissances neutres que viole depuis début 2022 le criminel Emmanuel Macron :

Des corps de combattants ne peuvent être formés, ni des bureaux d’enrôlements ouverts, sur le territoire d’une Puissance neutre au profit des belligérants.

Ce que ce débile d'Emmanuel Macron peut ignorer du fait de son incompétence crasse y compris sur des sujets aussi sérieux que la Paix et la Guerre ne peut être cependant omis par les juristes, chefs d'Etat-major et hauts fonctionnaires faisant office de petite Cour des Larbins du Poudré. Loin de faire respecter le droit et recadrer l'ado attardé qui aboie "GUERRE" dans les coursives de l'Elysée et devant les caméras, cette petite Cour de "conseillers" avalise ses exigences de roitelet chié par la Banque Rothschild avec les bons conseils de messieurs Attali, Mink et, sans doute même, de la CIA directement. Il est si doux avec le maître américain qui démolit nos gazoducs, nous vole la turbine Arabelle par son entremise, envoie sa sorcière Victoria Nuland foutre le feu en Ukraine quand l'Oncle Sam n'est pas occupé à bombarder la Syrie, l'Irak et tant d'autres nations depuis qu'il s'arroge le titre de "gendarme du monde". 

A ce titre j'appelle tous nos soldats, quels que soient leur grade, à refuser toute opération extérieure en Ukraine ou aux frontières de l'Ukraine, y compris s'agissant des simples "exercices" comme cela se déroule actuellement en Roumanie et dans les pays baltes, visant à constituer des provocations  ostensibles, graves et répétées contre la Russie et par voie de conséquence contre notre intégrité territoriale ainsi que le droit des Français à maintenir la Paix en notre pays.  Je fais savoir par ailleurs à nos officiers de l'Etat major, nos plus hauts magistrats, hauts fonctionnaires et parlementaires ayant le pouvoir collectif de neutraliser le traître Emmanuel Macron qui revendique ouvertement vouloir porter atteinte à la sureté de l'Etat, que votre inaction voire votre servitude relève aussi de la Haute trahison !

Si vous laissez ce cinglé (et j'insiste sur le terme) nous plonger dans l'abîme de la guerre ouverte contre la Russie, cela par votre inaction relevant bien plus que de l'indignité nationale : vous devrez rendre des comptes, sans doute par des voies extra-judiciaires, devant les Français qui auront survécu à cette conjuration des fous sur notre pays. 

Il y a longtemps que bien des lois auraient dues être invoquées par nos députés pour faire saisine de la Haute Cour, cela afin de destituer le psychopathe élyséen. Ce ne fut jamais le cas. Comment espérer le contraire de la part d'un parlement largement constitué de collabos comme au temps du Régime de Vichy ? Ne sont ils pas tous européïstes et anti-russe dans leurs déclarations faites à la presse ? Ne sont ils pas eux mêmes les toutous serviles de Washington et de Berlin ? 

Il ne nous reste désormais que la désobéissance des armées pour concourir au salut de la patrie par-delà la mentalité capitularde à l'égard de l'ennemi (réel) américain d'une partie de nos généraux.. Ces officiers là qui se couchent comme d'autres l'ont fait comme d'autres avant eux et devront eux, comme leurs aïeux, être jugés pour leur crimes et finir leur vie en prison. En rappelant que la dissuasion nucléaire est l'ultime recours pour préserver la France de toute atteinte à notre intégrité territoriale et à notre indépendance nationale. Elle ne peut donc être partagée et est même réputée "tout azimuts". C'est à dirigée contre TOUS les Etats, y compris se disant nos "alliés" comme les Etats-Unis d'Amérique quand bien même ils sont factuellement nos ennemis mortels.

Soldats ! Votre Code d'honneur vous rappelle dans son article premier que votre devoir d'engagement porte envers votre seul pays. Votre mission est protéger le territoire et les populations françaises de façon préventive et offensive en dernier recours. Vous n'êtes nullement le supplément de chair à canon nécessaire pour l'Ukraine ou les Etats-Unis d'Amérique dans leur guerre insensée contre la Russie. Cette dernière n'est pas et n'a jamais été une ennemie de la France mais bien une alliée stratégique contre l'Allemagne et désormais l'Amérique. Vous devez, par votre comportement, vos renoncements et cela jusqu'à la désobéissance s'il le faut, empêcher que le territoire français soit marqué d'une cible pour les missiles de l'armée russe. Il suffit de refuser de concourir à rendre la France cobelligérante dans ce conflit. Cette guerre contre la Russie ne concerne que les Ukrainiens et les Américains, nullement les Français ! 

Nous refusons tous de mourir pour Kiev et vous avez le devoir de nous protéger. Macron n'est pas votre Commandant en chef, c'est un traître dont la juste place est en prison. Votre allégeance à ses ordres relèvera désormais de la haute trahison. Soyez en conscients !

mardi 31 octobre 2023

Grande haine et petites perfidies

Il faut bien l'admettre : mon moral n'est pas très bon. Bien des raisons peuvent l'expliquer mais je compte ici exposer ce contre quoi je me dois de faire preuve de retenue alors que je sais subir la bêtise et la malveillance d'une toute petite poignée de personnes. Ce que vous lirez vous paraîtra en apparence très anodin voire sans intérêt, mais cela illustre parfaitement la bassesse d'une minorité de militants qui aurait de quoi user les plus vaillants d'entre nous. Je vous livre d'abord un sms reçu ce jour que je contextualiserai ensuite :

"Vous le savez certainement depuis le 21 octobre il y a une entente de 3 groupes organisateurs de manifs qui déclarent à tour de rôle en étant sur la même déclaration et en ayant choisi les revendications ensemble. Cette semaine la déclaration de Vigimédias va me mettre dans l'embarras ainsi que [...]. , lors de notre 1ère réunion Sylvain nous avait indiqué qu'il souhaitait se mettre en retrait et ne plus être déclarant parce qu'il en avait marre de la paperasse. Ça nous convenait à M. et moi car il y a des critiques à son encontre, quelle qu'elle soit il faut éviter que les personnes clivantes soient dans l'organisation de premier plan. En manifestation ou par appels, des Gilets jaunes nous demandent si Sylvain sera dans les déclarants de Vigimédias, ce qu'ils ne souhaitent pas, nous leurs avons indiqué que ça ne serait pas le cas, comme nous l'avait dit Sylvain. Ce lundi Sylvain nous annonce en réunion qu'il sera déclarant (le seul) car il n'y a personne d'autre de disponible de Vigimédias. Ça va être problématique pour [...]. et moi car aux yeux des manifestants nous passerons pour des menteurs, et j'imagine déjà les articles sur certains facebook. La parole donnée c'est important. Bref je propose à Sylvain de prendre avec lui des codéclarants pour que sa présence soit moins visible. [...] accepte d'en faire parti, il faudrait trois autres personnes, l'idéal serait Marie-Charlotte, Pascal et une autre personne. Important : les codéclarants ou revendications peuvent être ajoutés (des modifications sont possibles et cela après l'envoi du mail de déclaration), la présence des codéclarants n'est pas obligatoire le jour de la manifestation. Il faut juste fournir son prénom nom et téléphone rien d'autre.

Il a une autre solution le décalage de la manifestation médias à la semaine prochaine (quand seront dispos Marie-Charlotte et pascal) pour cette option il faudrait me répondre très rapidement pour que j'envoie un parcours de remplacent avant ce mardi 23h59.

Merci de faire ce que vous pouvez.

Est ce qu'il serait possible de participer à la réunion Vigimédias de demain ?

Soyons unis !"

Maintenant, contextualisons pour comprendre en quoi un tel message m'impose de contenir tout le ressentiment que je peux légitimement nourrir. Il y a de cela 12 années en arrière, je débutais mes premières activités militantes. Auparavant, ma vie se résumait à mon travail dans le transport routier, des soirées à faire de la musique avec mes amis (je suis guitariste et chanteur) et la lecture d'un grand nombre d'ouvrages et publications sur les sciences, les technologies ainsi que quelques romans d'anticipation. Je n'ai jamais eu d'intérêt, tout au long de ma vie, que ce soit de près ou de loin, pour toute forme d'idéologie extrémiste pas plus que pour les discours visant à cultiver la haine contre des catégories de personnes en vertu de leur couleur de peau, de leur religion ou même de leurs opinions politiques. Je suis un homme calme, ouvert d'esprit, totalement indifférent à la bêtise des uns et des autres mais cultivant cependant une certaine naïveté sur la capacité de l'Homme à s'extraire de ses propres conditionnements psychiques et intellectuels pour peu que l'on accorde à chaque individu du temps, de l'empathie et de la discussion. Moi-même, je ne suis pas né révolutionnaire ou patriote ni n'ai embrassé de telles opinions sitôt rentré dans l'âge adulte. Nombre de croyances que je pouvais nourrir il y a 20 ans en arrière ont, depuis lors, beaucoup évolué. Cela tant du fait de mes lectures que grâce à des rencontres qui m'ont enrichi. 

Toujours est-il qu'en embrassant ma troisième décennie de vie ici-bas, mon niveau d'éducation politique parvenait à une certaine maturité. D'où mon engagement par la suite, car je ne supporte pas la passivité lorsque je suis au fait d'une grande injustice. Je ne me suis jamais expliqué ce besoin irrémédiable de me battre contre un Goliath qui semble impossible à renverser pour le commun des mortels : je sais simplement que c'est une composante propre à ce que je suis. On ne me changera pas à ce sujet. Jamais !

Je me souviens parfaitement de ce moment où tout a commencé. En 2014, je suscite l'intérêt à la fois des renseignements généraux et d'un mystérieux blogueur se faisant appeler "Bordeauxbordel". Dans le premier cas, je suis directement approché par "les services" qui me proposent une discussion informelle dans un bar de la ville (je résidais alors à Bordeaux). Ils avaient déterré un petit traité sur le droit de résistance à l'oppression que j'avais rédigé et semblaient parfaitement renseignés sur mes activités et opinions politiques. L'objet de cet entretien consistait de leur point de vue, à vérifier si j'étais une bombe humaine qui franchirait un jour le pas de la résistance armée ou un militant, certes atypique, mais parfaitement lucide sur les limites de l'exercice auquel je m'adonnais. Le second (Bordeauxbordel), pour sa part, entamait une campagne de dénigrement sur un blog dit "antifa", aujourd'hui disparu de la toile, en me prêtant des allégeances ou accointances avec des personnalités et opinions d'extrême droite. A cette époque, avec quelques camarades, je publiais nos premiers numéros d'une revue politique que nous distribuions aux Bordelais. Je décrochais aussi mes premiers "torchons" européens des façades d'écoles et des mairies. J'attirais donc l'attention. Les calomnies et insinuations perpétuelles délivrées par le blogueur "Bordeauxbordel" me semblaient à l'époque saugrenues et sans importance mais je ne pouvais percevoir qu'il s'agissait d'un travail de sape qui produirait ses effets sur le long terme. Toujours est-il que ce genre de manœuvres n'étaient pas de nature à me décourager, bien au contraire, cela me laissait à penser que c'était une forme d'hommage du vice à la vertu. Si de parfaits inconnus étaient fermement décidés à salir mon honneur et ma probité morale comme intellectuelle, c'était sans doute que je visais juste dans mon combat.

Cependant, au fil des années, je constatais que les publications de "Bordeauxbordel" étaient la matière première d'autres sites dits "antifas". Ces derniers se bornaient à pomper la logorrhée de mon primo-détracteur et en rajouter un peu plus au gré de leur inspiration ou en isolant et décontextualisant quelques textes sarcastiques que j'avais publié sur les réseaux sociaux afin d'aggraver le portrait qui était fait de moi. Nous pourrions dire que la consécration fut d'attirer l'attention de Rudy Reichstadt qui, toujours avec les mêmes artifices rhétoriques visant à me souiller, poursuivait le travail de sape en s'inspirant d'ailleurs des publications de ses prédécesseurs. Quand ce furent les médias locaux et quelques médias d'envergure nationale qui commencèrent à s'intéresser à mon cas, ils ne purent s'empêcher de faire référence au blog de ce triste sire appelé pompeusement "observatoire du conspirationnisme". 

Mes proches, les militants qui me connaissent, s'étonnent voire s'irritent de mon absence de réaction face à cette réelle campagne de diffamation au long cours. D'abord parce que les gens qui partagent mon cercle intime ne supportent tout simplement pas que je sois sali. Ils savent qui je suis, ils pourraient même donner des informations de première main à ce cher Rudy sur mes plus vils pêchés, mais les qualifications de "facho", "antisémite", "complotiste", etc. sont une réelle insulte à leur sens sur ce que je suis fondamentalement. Eux le savent et voudraient que je me défende. Mes camarades qui me connaissent depuis assez longtemps pourraient signifier que je suis devenu plus rugueux avec le temps et peut être même moins bon sur le plan militant et politique, mais aucun ne dira de moi que je suis un "facho", un complotiste ou un xénophobe. Au contraire, je reste un homme très précautionneux sur le plan intellectuel et toujours enclin à m'extraire de l'entre-soi, ouvrir les portes et favoriser l'œuvre collective au détriment, parfois, de mes propres intérêts. Pourquoi associe t'on VIGIMEDIAS ou encore les décrochages de drapeaux européens à mon nom ? Tout simplement parce que je fus "le premier" à initier ces formes de révolte et à leur donner de la substance, de la régularité ainsi que beaucoup de ma personne. Pourtant, aujourd'hui, je ne décroche plus le moindre torchon étoilé et je ne suis plus du tout seul à organiser des rassemblements devant les grands médias. Mais ma légende noire me suit...

Mais au final, cette légende noire, à qui est-elle destinée ?

Le cœur de cible est évidemment la petite poignée d'individus sectaires, paranoïaques et malveillants que l'on trouve dans les rangs de "la gauche". Je précise ici que nous parlons bien d'une minorité au sein même de ce corpus idéologique. Mais une minorité très active et d'une profonde débilité mentale, j'ose le dire. Ces totalitaires qui considèrent comme allant de soi le fait de "cancelliser" par les intimidations, des violences ou de la diffamation, toute personne dont les opinions contreviennent aux leurs propres. Plus d'une décennie après m'être engagé sur les sentiers de la résistance, c'est donc sur mes propres initiatives, que je me dois de m'effacer pour espérer faciliter la concorde et la coopération militante. Car comprenez vous, je suis un personnage "clivant". Et "des Gilets Jaunes" ne souhaitent pas me voir apparaître au "premier plan", c'est à dire dans une banale déclaration administrative de manifester dont tout le monde se fout. Sauf les abrutis en mal d'exister, les jaloux, les malveillants, les talibantifas qui veulent me "cancelliser", les cons qui pensent qu'ils se feront un nom en détruisant ceux qui dépassent un peu, etc. 

Ainsi, pour en revenir au message reçu concernant une coordination militante qui tente de prendre forme au-travers d'un agenda commun des collectifs "Gilets Jaunes" parisiens, vous pouvez découvrir l'envers du décor. L'enjeu : que mon nom disparaisse de toutes les façons possibles, que je sois invisibilisé (au profit de QUI ?) même lorsque, objectivement, il ne se trouve aucun autre "déclarant" disponible au sein du collectif VIGIMEDIAS pour se coltiner une procédure administrative plutôt fastidieuse et sans aucun objet avec la communication publique du dit événement. Proposition avait été faite en réunion aux animateurs des autres collectifs concernés de se joindre à la déclaration de telle façon à "minimiser" ma visibilité si ennuyeuse pour quelques crétins. Mais personne ne souhaita s'ajouter à la déclaration administrative. Donc, j'assume de le faire en mon seul nom afin de garantir que notre prochain rassemblement devant les médias puisse se dérouler sans difficulté. 

Au dernier moment donc (nous sommes à J-4 avant l'événement), je reçois ce message dont la dernière phrase a toute son importance : "Il a une autre solution le décalage de la manifestation médias à la semaine prochaine (quand seront dispos Marie-Charlotte et pascal) pour cette option il faudrait me répondre très rapidement pour que j'envoie un parcours de remplacent avant ce mardi 23h59".

Vous conviendrez que sous forme d'aimable proposition de solution (pour que je disparaisse), ce qui a tout d'un ultimatum visant à saboter le principe de manifestation commune, est ici parfaitement explicite. Par ailleurs, il est gentiment "proposé" de "décaler" un événement qui est connu pour n'être organisé exclusivement (et non sans raison pratique) tous les premiers samedi du mois depuis plusieurs années. AU PROFIT DE QUI ?

J'ai volontairement effacé les prénoms de personnes citées dans ce message ne faisant pas partie du collectif VIGIMEDIAS comme le prénom de l'auteur de la missive. D'abord par respect pour les personnes avec qui nous discutons et n'étant pas nécessairement responsables de ce genre de manœuvres, mais aussi parce que je ne souhaite pas exposer l'auteur, lui-même, du message. Bien entendu, je prendrai contact demain avec une des personnes mentionnées pour lui proposer d'ajouter son nom à la déclaration. Car il faut garder le cap sur l'essentiel : la coordination entre les Gilets Jaunes.

Pour autant, je tiens à signifier à ceux qui me haïssent sans me connaître, à ceux qui crèvent de jalousie quand certains dépassent un peu alors qu'eux-mêmes resteront à jamais des individus anonymes, aux saboteurs de tous poils, à ceux qui souhaiteraient que je cessasse d'exister :

Oubliez vos viles manœuvres dignes des cours d'écoles. Je n'ai jamais cherché la lumière ni à exister plus que cela. Ma compagne me signifie que mon plus grave problème est de manquer clairement d'ego (là où l'on reproche en général à certains d'en avoir un qui soit démesuré) puisque j'ai tendance à m'effacer au profit de la cause. Mais si l'objectif est de "m'invisibiliser", soyez certains que vous aurez beau tenter toutes les formes de mesquineries les plus perfides de la sorte, jamais vous ne serez en situation de réduire ma propre influence et aura politique au profit de votre petite personne ou pour contenter votre haine idéologique. Je sais parfaitement quelle est cette toute petite minorité insignifiante qui me déteste ou souhaite m'invisibiliser. J'en connais les motifs, le contexte (décrit plus haut) et je sais aussi les limites intellectuelles qui sont les vôtres, vous condamnant, par-là même et à jamais, à rester dans la fange de la réflexion politique et militante. Contrairement à moi et c'est bien ce qui vous dérange. Il est vrai que tout le monde n'a pas la capacité de rédiger un essai à la fois théorique, juridique, historique et pratique du droit de résistance à l'oppression qui puisse attirer l'attention de certains juristes et médias alternatifs. Certainement pas mes détracteurs pour le moins. Je pourrais cesser toutes mes activités militantes et politiques définitivement que vous resterez malgré tout des anonymes insignifiants, abjects, malveillants, toxiques et détestés de la majorité. Je serais toujours supérieur à vous sur tous les plans : politique, militant et moral. Non du fait que je serais un être exceptionnel, mais simplement parce que vous êtes profondément médiocres. Aussi, ce qui doit être fait le sera pour la cause et non pour vous satisfaire. A bons entendeurs. Quant à ceux qui suivent mes pérégrinations intellectuelles et militantes avec un regard bien moins malveillant, j'espère que cette publication sera instructive sur l'envers du décor dans le monde militant et pourquoi, outre l'invisibilisation produite par les algorithmes des réseaux sociaux à mon encontre (sans compter les campagnes de signalement afin de faire sauter mes comptes), il semble si compliqué pour moi de faire entendre à de nombreux Français crevant d'envie d'en découdre avec la tyrannie, la propre voie insurrectionnelle que je propose. Je ne suis pas une notoriété et pourtant : il y a une coalition d'imbéciles sectaires qui est déterminée à m'invisibiliser. Je suis certain que le temps long sera juge de paix en la matière.

SYLVAIN BARON 

















dimanche 10 septembre 2023

La bataille judiciaire des Décrocheurs est en cours grâce à Frédéric Matthieu

Dans les premières années où je me suis lancé sur les sentiers de la Résistance, j'ai commencé par décroché des drapeaux européens et me suis d'ailleurs fait connaître dans les milieux militants en partie sur ces faits d'armes. Une association a été créée par la suite mais dont je n'ai jamais eu les qualités nécessaires pour l'administrer pleinement.

A la suite de ces premiers décrochages de "torchons étoilés", le mouvement a tout simplement pris. Depuis 2014 jusqu'à nos jours, ce sont des milliers de drapeaux européens qui ont été décrochés de leur support. Des publications plus anciennes sur ce propre blog vous permettront d'en connaître les détails juridiques ainsi que les affaires ayant été jusque là jugées (mais sans avoir été traitées pleinement afin que la question sur le fond soit examinée avec la diligence nécessaire des magistrats).

Aujourd'hui, si le combat se poursuit sous d'autres angles d'attaque pour ma propre part, Frédéric Matthieu, décrocheur vosgien, le poursuit avec beaucoup d'habileté, de connaissances juridiques et de pugnacité nécessaire à la bataille. Il n'est pas seul et il mérite tout notre soutien. Je vous fais part du courriel qu'il m'a envoyé synthétisant les avancées de sa propre affaire (qui sera jugée le 28 novembre 2023 à Epinal) et dont il est possible de s'en saisir pour mettre en route une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) sur la licité même du "drapeau européen" sur l'espace public.

Le dossier est suivi par une avocate très compétente et combattive et dont les honoraires ne sont pas si dispendieux quant on connaît ceux facturés par d'autres cabinets. Mais oui, le combat judiciaire a un coût. Les petits ruisseaux faisant les grandes rivières, je vous invite donc à donner votre obole à votre mesure sur la cagnotte ouverte à ces fins. Par ailleurs, je compte céder la présidence de l'association "Les Décrocheurs" (toujours existante) à Frédéric Matthieu afin qu'il puisse disposer d'un outil à même de faciliter le combat. Il pourra ainsi représenter avec bien plus de légitimité l'ensemble des Décrocheurs qui ôtent le symbole de l'oppression des Français des écoles et mairies qui le pavoisent. Voici donc le courriel de Frédéric, avec tous les liens utiles pour s'informer et aider :

Bonjour à tous,

Comme vous pourrez l'entendre dans cette capsule juridique du 14 Août 2023 à partir de 18'38", nous avons demandé à notre avocate de déposer une Question Prioritaire de Constitutionnalité (QPC) relative au drapeau européen en tant que symbole de l'Union Européenne, puisque les traités européens en vigueur précisent dans la déclaration 52 du traité de Lisbonne que la République française ne reconnaît pas les symboles de l'Union Européenne.

Le reste de la communication est assez mal résumé puisqu'il y a eu à l'origine 57 plaintes de mairies avant la restitution et une 58ème le lendemain concernant la commune de Domrémy la pucelle, pour laquelle les décrocheurs n'ont pas été tenus au courant, mais c'est hautement symbolique et je ne saurai que trop remercier celui qui a procédé à ce décrochage puisqu'il s'agit du village natal de Jeanne d'arc...

Epinal, en revanche ne pavoisait pas de drapeau européen en 2021, il y en a malheureusement un depuis sur l'une des façades de la Mairie, mais il y en a très peu ailleurs dans la commune du fait que c'est la ville dont Philippe Seguin a été maire pendant des années (revoir son discours du 5 mai 1992 à l'assemblée nationale sur ce que deviendrait l'Union Européenne en cas de ratification du traité de Maastricht).
Donc seule la commune de Sans Valois s'est portée partie civile et non pas celle d'Epinal, sachant que douze communes n'ont même pas daigné venir récupérer les drapeaux restitués.

Pour rappel une QPC ne peut être déposée que lors d'une affaire judiciaire en cours, donc il faut que celle-ci dure encore un peu le temps de l'examen de la QPC qui peut prendre jusqu'à un an selon notre avocate.

Cette QPC a également pour objet de ralentir la procédure de vote de la proposition de loi n°1011 relative à l'obligation du pavoisement du drapeau européen sur les mairies, devenu la proposition n°595 dans l'agenda de la commission des lois du sénat.

Toutefois cette QPC nous est facturée 1300€ par notre avocate et il nous reste encore 1300€ de frais pour la préparation de notre défense et la présence de notre avocate le 28 Novembre, sans compter la suite naturellement.

Donc nous maintenons la cagnotte ouverte pour nous aider à faire face aux frais, sachant qu'en ces temps difficiles il est hors de question de vous demander de vous mettre en difficultés, mais comme ce sont les gouttes d'eau qui font les grandes rivières, le moindre petit geste sera utile.

Comme précisé dans l'intitulé de la cagnotte nous en versons une part nous-même, et pour être totalement transparent avec vous, nous avons personnellement déjà versé 950€ depuis le début de la procédure, comprenant les rendez-vous, la représentation du 03 Juillet et le début de notre défense sur un total de 2200€ déjà versés, le reste venant de vos dons et d'une partie la cagnotte.

Compte tenu de la porté du processus et de l'approche des élections européennes, il pourrait être intéressant de montrer la défiance des français envers l'Union Européenne dans sa réalité actuelle par un fort comité de soutien.

La convocation au tribunal est à 08h30 le 28 novembre 2023 et le plus large comité de soutien est souhaitable pour bien montrer l'ampleur de la grogne des français à l'encontre de cette UE passoire qui, non contente de laisser passer des terroristes ayant transité par la Suède pour s'en prendre à des enfants à Annecy, nous ramène par ailleurs à des heures sombres de notre histoire exactement après 79 ans (25 Août 1944: Libération de Paris, 25 Août 2023 : Retour officiel de la censure totalitaire institutionnelle en Europe décidée par la commission Européenne), ceci sans parler de la destruction de nos entreprises publiques (SNCF, EDF-GDF, etc.. au travers de l'article 106 du TFUE) et de la ruine de toutes nos entreprises avec le tarif européen de l'électricité qui se répercutent sur les tarifs sous forme d'inflation.

Merci d'avance pour votre soutien financier et/ou en présence le 28 Novembre prochain.

Frédéric Mathieu"

dimanche 18 juin 2023

Accord de cessez-le-feu en Ukraine en 16 points

En liminaire, je dois expliquer que je compte constituer un groupe de travail qui soit parfaitement indépendant de toutes instances gouvernementales et que je cherche activement à prendre attache avec des Ukrainiens à la fois éduqués politiquement et capables de conserver leur calme lorsqu'il s'agira de négocier avec des citoyens russes ou des autonomistes du Donbass l'accord de cessez-le-feu dont il est ici question. Ce groupe de travail doit donc être constitué de 3 Ukrainiens alignés ou non sur les positions de M. Zelenski, 3 autonomistes du Donbass, 3 citoyens russes et 3 Français.

Dans cet exercice, les Français (dont je me réserve la sélection des négociateurs souhaitant m'assister), défendent à la fois nos intérêts nationaux mais aussi et surtout la logique d'amener les deux principaux belligérants à une ébauche de plan de paix qui soit, du point de vue de chacun, honorable. Aucun des belligérants n'en sera satisfait (tout comme de nombreux Français), mais l'objectif étant de partir d'une proposition que l'on puisse modifier à l'envie, à savoir : abroger, modifier ou ajouter des articles. Il y a naturellement des considérations pratiques et humanitaires dans ce plan (celles sur lesquelles il n'y aura normalement pas trop de difficultés à concilier chacune des parties) et certains points clés, notamment les articles 6, 9 et 15 du présent accord, qui portent sur les revendications politiques les plus essentielles des Russes et Ukrainiens : La Russie exige que l'OTAN cesse de lui "braquer un flingue sur la tempe" à ses frontières ; l'Ukraine veut récupérer ses territoires perdus. Sachant les sacrifices consentis par l'une et l'autre partie, à priori, la Russie ne sera pas encline à rétrocéder des territoires et villes désormais sous son contrôle. De son côté, M. Zelenski joue presque littéralement sa vie (pas seulement sur le plan politique) dans l'objectif de reconquérir les territoires perdus. Lorsqu'il avait été élu, il avait promis de régler pacifiquement le conflit déjà pré-existant dans le Donbass. Or, c'est bien sous son mandat que les événements se sont aggravés. Par ailleurs, la Garde Nationale ukrainienne est littéralement devenue le bastion des bandéristes qui n'auront aucun problème à évincer M. Zelenski s'il devait adopter une attitude trop conciliante avec la Russie. Rappelons qu'à la suite des événements d'Euromaïdan, un climat de défiance s'est installé à l'encontre des nationalistes ukrainiens de l'ouest du pays qui se sont emparés du pouvoir avec le plein soutien des Etats-Unis d'Amérique, en 2014. Le Donbass a souffert durant 8 années des exactions de milices bandéristes en plus des bombardements de l'armée ukrainienne dans l'indifférence générale. Le massacre de la maison des syndicats d'Odessa du 2 mai 2014 a d'ailleurs été l'un des tournants de cette radicalisation, pas seulement dans le Donbass, mais aussi dans tout l'espace russophone du pays et notamment ce que les Russes appellent eux-mêmes "la Novorossiya". L'est et l'ouest du pays, sociologiquement, culturellement et jusque dans la langue maternelle des populations, ont toujours eu des empreintes électorales antagonistes. Les populations culturellement et historiquement russes en Ukraine, ne peuvent supporter que des néo-nazis contre lesquels leurs aïeux ont lutté, aient la main mise sur leur pays et se permettent de remettre en cause l'apprentissage de leur langue natale à l'école, son usage commun dans les institutions du pays en plus de mener des raids punitifs contre les autonomistes qui marquent leur scission avec une telle Ukraine. 

Rappelons que M. Ihor Kolomoïsky, célèbre oligarque ukraino-israélo-chypriote a financé et équipé les bataillons néonazis de Pravy Sektor qui venaient liquider froidement des centaines d'Ukrainiens du Donbass. M. Bernard Henri Levy ne remarqua jamais les drapeaux rouges et noirs des néonazis ukrainiens autour de lui sur la place Maïdan, pas plus que les commentateurs et experts de plateaux de télévision français, n'y font attention sur certaines images que certains soldats ukrainiens partagent sur Télégram. De même que la presse ukrainienne relate ouvertement les faits d'armes ou les pertes de bataillons issus de ces groupuscules néo-nazis, comme celui de Svoboda (toujours dans la Garde Nationale comme celui d'Azov) ou encore le 7ème bataillon de volontaires se faisant appeler "Arey" qui s'est illustré récemment dans la contre-offensive ukrainienne, près du village de Neskuchne dans la région de Zaporijia

Reprise de Neskuchne par les bandéristes du bataillon Arey

En tant que Français, il n'est donc pas question pour moi de rejeter les alertes que n'a cessé de produire la Russie sur ce point. L'appareil d'Etat ukrainien, particulièrement militaire, est vérolé par des personnes dont "les valeurs" ne peuvent trouver une quelconque mansuétude ou banalisation de la part des Européens et pour le moins des Français. Ces "nationalistes" ont simplement le bon goût d'être rabiquement russophobes, ce qui suffisait amplement à obtenir le soutien des Etats-Unis d'Amérique - et nos médias s'obstinent à faire silence sur les manœuvres et réseaux d'une certaine Victoria Nuland - ainsi qu'à certaines puissances d'argent pour les aider à renverser Viktor Ianoukovytch le 22 février 2014. L'idéologie des "révolutionnaires" est sans importance, dès lors qu'elle peut servir les intérêts bien compris de certains acteurs géopolitiques.

Comme la présentation médiatico-politique française n'est rien d'autre que l'expression du soft power américain qui trouve ses marionnettes pour aboyer toujours plus d'armes et de munitions contre la Russie mais, tenez vous bien, au nom de la paix (!), je tiens à faire savoir à tous les ingénus et demi-collabos qui boivent cette propagande, que leurs considérations sur les bonnes dispositions de l'UE et l'OTAN dans ce conflit : je n'en ai cure. Je compose avec des réalités objectives et je considère que les Européens, pour leur propre sécurité, doivent intimer l'ordre aux USA de retirer l'ensemble de leurs troupes et matériels du sol européen. Nous n'avons pas besoin d'eux pour assurer notre sécurité. Nous ne sommes pas leurs vassaux et nous considérons même qu'ils sont plutôt sources de danger pour l'Europe voire des ennemis ostensibles, qu'il convient de refouler hors de notre espace continental. 

Ceci est une vision partagée avec la Russie qui serait d'ailleurs la seule fenêtre à exploiter pour l'Ukraine sur la recouvrance de ses territoires. En effet, pour que la Russie accepte de restituer ces derniers, il lui faudrait en contrepartie des garanties majeures sur sa propre sécurité. Des garanties qui ne peuvent se traduire que par un pacte de sécurité mutuelle entre Européens (Russie, Ukraine et Biélorussie incluses) qui suppose de savoir dire aux Américains, droit dans les yeux : Allez vous faire foutre ! (Victoria Nuland comprendra parfaitement l'expression ici employée). Si les Etats européens continuent dans cette logique aussi absurde que dangereuse de "cancelliser" la Russie au profit de leur tuteur américain et contribuer à la menacer directement : non seulement les autorités russes ne trouveront aucune raison de restituer quoi que ce soit, mais elles poursuivront le combat jusqu'à ce que les USA rendent gorge sur le plan financier et matériel. 

La population ukrainienne mobilisable n'est pas non plus infinie du reste. Il s'agit d'une guerre existentielle pour la Russie. Tant qu'elle aura le sentiment d'être menacée par des pays voisins étant totalement sous l'emprise des USA, elle ne cèdera rien et continuera sa progression toujours plus en profondeur de l'Ukraine. Les articles 6, 9 et 15 sont donc l'architecture géopolitique qu'il s'agit de régler, pour que l'Ukraine recouvre ses territoires dans cette proposition d'accord. Il est évident que nos dirigeants, tous européeïstes jusqu'à la rognure d'ongle et léchant allègrement les bottes de l'Oncle Sam en permanence, sont incapables de formaliser un tel pré-accord de paix. Leur idéologie (et leur traîtrise) les rendent incapables de situer les enjeux de sécurité à l'échelle du continent pour les décennies à venir. Cet accord est donc le seul "troc" qu'il me semble encore possible à négocier politiquement entre messieurs Poutine et Zelenski. Et cela obligera toutes les chancelleries européennes à repenser la question de leur propre indépendance nationale tout en faisant hurler de rage les néonconservateurs américains. Paradoxalement, c'est peut-être dans l'Etat-major militaire américain que cette proposition serait considérée comme pertinente. Cet accord de cessez-le-feu est évidemment imparfait, mais en avez vous un autre sous la main ?

Accord de cessez-le-feu entre l’Ukraine et la Russie

Préambule

Les termes de l’accord ici présentés, ont été négociés par des citoyens russes, ukrainiens et français, en première instance. Tous les négociateurs déclarent ne disposer d’aucun pouvoir officiel à revendiquer, n’être sous l’influence ou mandatés par aucun de leur gouvernement respectif, et n’agir que dans le seul soucis de rétablir la paix entre les deux États en conflit et assurer plus largement la sécurité en Europe, en tenant compte du contexte géopolitique général et des revendications portées par chacune des parties.

Les discussions se seront déroulées loyalement, dans le respect et sans volonté d’humiliation de l’un ou l’autre des États belligérants, avec la recherche permanente du compromis politique acceptable permettant de dresser les grandes lignes d’un ultérieur traité de paix, cela en laissant le soin aux États concernés, de régler directement les détails qu’il nous semblait inutiles de préempter à ce stade.

Cet accord, une fois conclu, sera présenté aux médias et instances officielles de chacun des pays concernés, afin d’en faire sa promotion, et aider nos dirigeants politiques respectifs à faire preuve de responsabilité en faveur de la paix.

Article premier

La République Fédérale de Russie, la République d’Ukraine, la République de Louansk, la République de Donetsk ; sous l’égide de la République française et de tous les États souhaitant se porter garants de la paix, de la sécurité des personnes et de la stabilité du continent européen, ici résolus à agir dans l’intérêt de chacune des parties, acceptent les termes de l’accord définis dans les articles suivants.

Article 2

Les États ukrainien, russe ainsi que les républiques de Louansk et Donetsk conviennent d’un cessez-le-feu immédiat pour une période indéfinie.

Article 3

Une bande de territoire de 5 km de chaque côté de la ligne de front est démilitarisée en hommes et matériels. Seuls des soldats et civils désarmés, assistés d’observateurs et opérateurs internationaux garantissant leur stricte neutralité, participant à l’évacuation des corps, au déminage et à la dépollution du site, peuvent y circuler.

Les États ukrainien et russe garantissent le libre accès à tous les secouristes, démineurs, observateurs internationaux, et permettent aux populations civiles demeurant sur la ligne de front d’accéder à cette bande de terre.

Article 4


Les États parties, conviennent de libérer tous les prisonniers de guerre, qu’ils soient des combattants réguliers ou non, agents de renseignement ou saboteurs ayant contribué à soutenir l’effort de guerre de chacun des belligérants.

Sauf s’agissant des crimes de guerre avérés commis par des combattants de l’une ou l’autre des parties exigeant une réponse pénale individualisée, toutes les charges retenues contre des soldats et agents russes ou ukrainiens ayant contribué à l’effort de guerre, sont abandonnées.

Article 5

L’accord ici, sans préjuger de négociations ultérieures sur ce point, ne porte pas sur le statut de la Crimée.

Article 6

Les régions ukrainiennes, hors Crimée, actuellement sous le contrôle de l’État russe restent sous son administration pour une période d’au moins 20 années et ne pouvant excéder 50 années.

L’État russe, à l’issue de cette période restant à définir, s’engage à restituer les territoires concernés à l’État ukrainien dès lors qu’un Pacte de sécurité européen et russo-ukrainien aura été ratifié par les parlements nationaux concernés afin de tarir tout prétexte futur au renouvellement de ce conflit.

Article 7

L’État russe s’engage à sécuriser, dépolluer et œuvrer directement à la reconstruction de l’ensemble des dommages de guerre sur les régions qu’il occupe.

L’État ukrainien, prend à sa charge la sécurisation, la dépollution et la reconstruction des dommages de guerre sur les territoires étant encore sous sa propre administration.

Article 8

L’État russe s’engage à rembourser financièrement ou en nature les frais de reconstruction étant à la charge de l’État ukrainien sur son propre territoire. Aucune compensation supplémentaire autre que les frais de reconstruction et d'indemnisation des victimes de guerre n’est réclamée par l’État ukrainien.

La durée et la périodicité des versements relatifs aux réparations de guerre dus à l’État ukrainien, sont définis dans un accord financier entre les deux parties.

Article 9

L’État ukrainien reconnaît, par sa position géographique et le contexte géopolitique à l’origine du conflit, que son absolue neutralité est nécessaire pour asseoir sa position de puissance assurant un pont culturel, commercial et politique entre les Etats-membres de l’OTAN et la Russie tout en garantissant sa propre sécurité et celle de l’Europe.

L’Ukraine renonce par conséquent à toute velléité d’intégrer l’Union européenne et l’OTAN afin de garantir cette neutralité effective.

La Russie et les Etats-membres de l’OTAN garantissent à l’État ukrainien des accords privilégiés assurant sa sécurité, son développement économique ainsi que la reconnaissance de son statut d’État-pivot pour la sécurité européenne.

Article 10

L’État ukrainien s’engage à garantir aux minorités russophones, hongroises, tatares ou polonaises, l’enseignement, la préservation et le respect des langues parlées par les populations de son propre territoire.

Toutes les lois et politiques discriminant les citoyens ukrainiens ou portant atteinte au pluralisme des opinions politiques sont abrogées.

Article 11

L’État russe garantit aux populations d’identité et de langue ukrainienne résidant sur les territoires étant sous son administration, les mêmes droits que pour les populations russophones, que ce soit en matière d’enseignement de la langue ukrainienne, de sécurité et de stricte égalité civique face à la loi.

Article 12

Les États russes et ukrainiens, assurent la libre circulation des populations de chaque côté de la ligne de front afin de ne pas nuire aux liens familiaux, sociaux et économiques préexistants avant le début du conflit.

Article 13

L’État ukrainien garantit l’accès aux ressources hydriques permettant l’approvisionnement en eau douce des populations et desservant les infrastructures industrielles et énergétiques situées sur les territoires administrés par la Russie.

La Russie garantit l’accès au réseau électrique étant sous son contrôle et établit des accords privilégiés concernant l’approvisionnement en hydrocarbures et en gaz naturel avec l’Ukraine

Article 14

La Russie garantit le libre accès aux ports étant sous son administration, aux marchandises et matières premières ukrainiennes dédiées à l’exportation.

Article 15

La France, résolue à faire admettre à la communauté européenne l’importance d’une politique de sécurité mutuelle propre à notre continent, poursuit tous ses efforts diplomatiques afin que l’ensemble des Etats-membres du Conseil de l’Europe ainsi que la Russie et la Biélorussie, contractent un traité de sécurité mutuelle comportant des garanties excluant toute présence de troupes et matériels en provenance des Etats-Unis d’Amérique sur le territoire européen ainsi que le rétablissement complet des échanges économiques et financiers entre l’Ouest de l’Europe, la Russie et la Biélorussie.

L’État ukrainien, conscient que l’établissement d’un tel accord de sécurité mutuelle, à dimension européenne, ne peut que faciliter l’aboutissement d’un traité de paix avec la Russie lui permettant de recouvrer son intégrité territoriale selon les termes de l’article 6 du présent accord, assiste dans leurs efforts diplomatiques la France et tous les Etats européens soucieux d’établir une paix durable sur le continent afin d’aboutir à cette solution.

Article 16

Toutes les parties signataires de cet accord, préalable à un cessez-le-feu, s’engagent à ne jamais compromettre la paix par des manœuvres et attitudes hostiles à l’un des Etats engagés dans l’accord ci-présent.

Version du texte en russe :

Соглашение о прекращении огня между Украиной и Россией

Преамбула

Условия представленного здесь соглашения в первую очередь обсуждались гражданами России, Украины и Франции. Все участники переговоров заявляют, что у них нет официальных полномочий, чтобы требовать, они не находятся под влиянием или мандатом какого-либо из своих правительств и действуют только с единственной целью - восстановить мир между двумя государствами, находящимися в конфликте, и обеспечить безопасность в Европе в более широком смысле. , принимая во внимание общий геополитический контекст и требования, выдвигаемые каждой из сторон.

Обсуждения будут проходить лояльно, с уважением и без желания унизить какое-либо из воюющих государств, с постоянным поиском приемлемого политического компромисса, позволяющего выработать общие контуры последующего мирного договора, оставляя это на усмотрение. заинтересованным государствам напрямую решать детали, которые, по нашему мнению, не было необходимости упреждать на данном этапе.

Это соглашение, как только оно будет заключено, будет представлено средствам массовой информации и официальным органам каждой из заинтересованных стран, чтобы пропагандировать его и помочь нашим соответствующим политическим лидерам продемонстрировать ответственность в пользу мира.

Первая статья

Федеративная Республика Россия, Республика Украина, Республика Луанская, Республика Донецк; под эгидой Французской Республики и все государства, желающие выступить гарантами мира, личной безопасности и стабильности европейского континента, полные решимости действовать в интересах каждой из сторон, принимают условия соглашения, определенные в следующие статьи.

Раздел 2

Украинское и российское государства, а также Луанская и Донецкая республики соглашаются на немедленное прекращение огня на неопределенный срок.

Раздел 3

Полоса территории протяженностью 5 км с каждой стороны линии фронта демилитаризована по численности и технике. Там могут передвигаться только безоружные солдаты и гражданские лица при содействии международных наблюдателей и операторов, гарантирующих их строгий нейтралитет, участвующих в эвакуации тел, разминировании и дезактивации объекта.

Украинское и российское государства гарантируют свободный доступ всем спасателям, сапёрам, международным наблюдателям, а также позволяют гражданскому населению, остающемуся на линии фронта, получить доступ к этой полосе земли.

Статья 4

Государства-участники соглашаются освободить всех военнопленных, независимо от того, являются ли они регулярными комбатантами или нет, агентами разведки или диверсантами, которые внесли свой вклад в поддержку военных усилий каждой из воюющих сторон.

За исключением доказанных военных преступлений, совершенных комбатантами обеих сторон, требующих индивидуального уголовного реагирования, все обвинения против российских или украинских солдат и агентов, которые участвовали в военных действиях, сняты.

Статья 5

Соглашение здесь, не предрешая последующих переговоров по этому вопросу, не касается статуса Крыма.

Статья 6

Украинские регионы, за исключением Крыма, которые в настоящее время находятся под контролем российского государства, остаются под его управлением на срок не менее 20 лет и не более 50 лет.

Российское государство в конце этого периода, который еще предстоит определить, обязуется вернуть соответствующие территории Украинскому государству, как только европейский и российско-украинский Пакт безопасности будет ратифицирован соответствующими национальными парламентами. использовать любой будущий предлог для возобновления этого конфликта.

Статья 7

Российское государство стремится обеспечить безопасность, дезактивацию и непосредственную работу по восстановлению всех повреждений, нанесенных войной в оккупированных регионах.

Украинское государство несет ответственность за охрану, очистку и восстановление разрушенных войной территорий на территориях, которые все еще находятся под его собственным управлением.

Статья 8

Российское государство обязуется возместить в денежном или натуральном выражении затраты на восстановление, понесенные Украинским государством на своей территории. Никакой дополнительной компенсации, кроме затрат на реконструкцию и компенсации жертвам войны, украинское государство не требует.

Продолжительность и частота выплат, связанных с военными репарациями, причитающимися Украинскому государству, определяются финансовым соглашением между двумя сторонами.

Раздел 9

Благодаря своему географическому положению и геополитическому контексту, приведшему к возникновению конфликта, Украинское государство признает, что его абсолютный нейтралитет необходим для установления своего положения силы, обеспечивающего культурный, торговый и политический мост между государствами-членами НАТО и Россией, гарантируя при этом ее собственной безопасности и безопасности Европы.

Поэтому Украина отказывается от любого желания интегрировать Европейский Союз и НАТО, чтобы гарантировать этот эффективный нейтралитет.

Россия и страны-члены НАТО гарантируют украинскому государству привилегированные соглашения, обеспечивающие его безопасность, экономическое развитие, а также признание ее статуса как ключевого государства для европейской безопасности.

Статья 10

Украинское государство стремится гарантировать русскоязычным, венгерским, татарским и польским меньшинствам преподавание, сохранение и уважение языков, на которых говорит население своей территории.

Все законы и политика, дискриминирующие украинских граждан или подрывающие плюрализм политических взглядов, отменяются.

Раздел 11

Российское государство гарантирует населению украинской идентичности и языка, проживающему на территориях, находящихся под его управлением, те же права, что и русскоязычному населению, будь то в плане обучения украинскому языку, безопасности и строгого гражданского равенства перед законом.

Статья 12

Российское и украинское государства обеспечивают свободное передвижение населения по обе стороны линии фронта, чтобы не наносить ущерба ранее существовавшим семейным, социальным и экономическим связям до начала конфликта.

Статья 13

Украинское государство гарантирует доступ к водным ресурсам, позволяющим снабжать население пресной водой и обслуживать промышленную и энергетическую инфраструктуру, расположенную на территориях, находящихся под управлением России.

Россия гарантирует доступ к подконтрольной ей электросети и устанавливает привилегированные соглашения о поставках углеводородов и природного газа с Украиной.

Статья 14

Россия гарантирует свободный доступ в порты, находящиеся под ее управлением, украинским товарам и сырью, предназначенным для экспорта.

Раздел 15

Франция, полная решимости заставить европейское сообщество признать важность политики взаимной безопасности, характерной для нашего континента, продолжает все свои дипломатические усилия, чтобы все государства-члены Совета Европы, а также Россия и Беларусь заключили договор о взаимной безопасности, включающий гарантии, исключающие любое присутствие войск и техники Соединенных Штатов Америки на европейской территории, а также полное восстановление экономического и финансового обмена между Западом Европы, Россией и Беларусью.

Украинское государство, осознавая, что заключение такого соглашения о взаимной безопасности с европейским измерением может только способствовать заключению мирного договора с Россией, позволяющего ей восстановить свою территориальную целостность в соответствии с условиями статьи 6 этого соглашения, содействует в своих дипломатических усилиях Франция и все европейские государства заинтересованы в установлении прочного мира на континенте для достижения этого решения.

Статья 16

Все стороны, подписавшие это соглашение, до прекращения огня обязуются никогда не ставить под угрозу мир посредством маневров и позиций, враждебных одному из государств, участвующих в этом соглашении.

vendredi 9 juin 2023

La page blanche

Il me faut écrire : je ne le sens que trop bien. Je crois pourtant avoir tout dit sans que cela ne puisse tarir ma colère. Je pourrais tout à fait reprendre mes sources et publications, les accommoder à l’humeur de l’actualité pour faire démonstration de la pertinence de mes analyses et propositions, et ensuite ? N’est-ce pas une forme de radoterie de vieux gâteux que de répéter sous d’autres formes et avec quelques exemples nouveaux la même chose depuis des années ? Il me faut donc traquer le sujet inabordé. Celui qui aurait de la pertinence, la fraîcheur de l’inattendu, la possibilité de mettre de l’huile dans les rouages de mon esprit saturé d’informations autant que de désillusions. 

Car, je n’écris jamais pour les autres à l'égal de certains écrivains et artistes prétendant faire part d'un certain altruisme dans leur propre discipline. J’écris pour moi-même. Pour me vider de ce que je sais, de ce que je ressens et perçois comme solutions à un problème donné. Et pour ne rien vous cacher, ce début de texte illustre parfaitement ce qu’est le syndrome de la page blanche pour un écrivain. Il n’y a toujours pas de sujet, je me contente d’exulter ce qui me passe par la tête. L’inspiration vient en écrivant.

Voyons donc dans ma besace ce qui peut traîner : La démocratie ? Trop vaste pour un billet de blog et pas encore tout à fait le moment d’en parler, sauf peut-être dans un prochain livre. La guerre en Ukraine, l’Union européenne, l’écologie, la monnaie et la géopolitique ? Ce sont justement les thématiques sur lesquelles je n’ai cessé de me répandre en long, en large et en travers. Non ! Il me faut quelque chose d’autre !

Peut-être, comme me le suggère ma compagne et quelques camarades, rédiger une réponse aux textes existant sur la toile visant à me souiller et me faire passer pour le dernier des extrémistes ? Rétablir mon honneur, ma vérité ? C’est donner bien trop d’importance aux cons que de se justifier quant à leurs saloperies dites sur mon compte. Tiens, voila, je suis grossier ! Quelle horreur ! Voilà que je gâche ma prose ! Mais pourquoi donc ? Peut-être parce que les termes considérés comme « vulgaires » sont pour moi de merveilleux mots à utiliser en certaines circonstances. Ils sentent le souffre, ils traduisent un ressenti profond et font partie de cette langue française que je chéris dans ses moindres nuances. Oui la vulgarité a du bon ! Qui voudrait abolir nos jurons ordinaires alors qu’ils soulagent notre agacement au quotidien ? Pardonnez moi de ne point vouloir me départir de ces mots : je les considère indispensables à mon esprit bouillant et volontiers provocateur. Vous devrez vous y faire. Réfléchissons encore… Il y a bien quelques thématiques rangées dans de petites boites qu’il faudra sortir d’un tiroir de la vieille commode planquée au fond du grenier : L’abstraction des lois, une explication sur la servilité des masses, le rapport entre la spiritualité et la politique, le tribalisme voire le sectarisme de certaines officines politiques, l’entre-soi débilitant des militants… En voila des sujets de niche sur lesquels je pourrais aisément m’épancher. Mais je n’ai pas le cœur à cela.

Allons bon, me direz vous, voila que ce coquin publie un texte qui ne parle de rien et nous entraîne dans son esprit torturé sans que cela nous mène quelque part ! Se peut-il que je me moque de vous ? Non, j’écris pour moi, je vous l’ai dit plus haut ! C’est bien vous qui êtes assez sots pour me lire encore à ce stade, alors que manifestement, je souffre en ce moment même du syndrome de la page blanche ! Vous espériez le bon mot ? Une information jamais lue ailleurs ? Une quelconque fulgurance intellectuelle ? Vous resterez sur votre fin, autant vous le signifier : je n’ai décidément strictement rien à raconter ce soir ! Alors quittez donc cette page, vous ne pourrez que vous ennuyer. Je fais actuellement ma psychothérapie ordinaire et vous voila, en voyeurs patentés, en train de lire mes divagations comme l’on regarde une belle femme se déshabiller. Certains me répondront que c’est pourtant bien moi qui fait preuve d’impudeur en publiant un tel texte. Vous n’êtes pas responsable de mon exhibitionnisme ! Vous ne faisiez que passer après tout ! Oui, mais vous êtes encore là et c’est bien la preuve que vous faites preuve, vous aussi, d’un peu de perversité. Nous serons donc quittes sur ce point.

Alors qu’est-ce qu’il me reste ? Une foutue page blanche, c’est certain, mais encore ? Parler de ce que j’aime bien ou de mes rêves les plus inaccessibles ? Si vous saviez à quel point ils revêtissent tous les atours de la banalité. Alors soyons extravaguant et donnons du « moi, président » pour dérouler le fantastique projet politique que j’ai pour la France. Tiens, voila un sujet ! Pas le programme, on s’en fiche, à quelques nuances près, il ressemble au votre. Est-ce que ça me plairait d’être Président de la République ? Après tout, depuis le temps que je me bats pour mes idéaux, si le mandat me tombait dessus au hasard d’une révolution qui m’aurait dépassé, est-ce que j’aurais la prétention d’accepter le poste ? Bon dieu de merde que oui ! Plutôt deux fois qu’une ! Parce que je rêve de pouvoir, de consécration, de creuser mon trou dans l’Histoire ? Que nenni ! Après des années d’impuissance politique, si on me laisse la possibilité de tout changer, bien sur que je le fais ! Mais je suis certain que je vivrais cela comme une souffrance quotidienne plutôt qu’une absolution. Imaginez ! Toutes mes radicalités et mes colères que je devrais tempérer tant vis-à-vis de certains pays étrangers qu’à l’intérieur même de la nation. Toutes ces réformes que j’aurais en tête et qui n’auraient aucune chance de trouver un soutien populaire même parmi les miens. Et puis les coups tordus, les perdants de la Révolution devenus une opposition cherchant à me renverser, les moments de doute tétanisants au moment de trancher un problème compliqué, les promesses dont je me rendrais compte qu’elles sont impossibles à tenir pour des raisons qui m’échappaient encore du temps de mon activisme politique… Qui peut considérer le poste comme agréable à occuper ? Et puis, moi qui chérit tant ma tranquillité, je n’aurais plus la possibilité de demeurer un illustre inconnu qui se félicite d’être ignoré du commun des mortels. Alors oui, je ne ferais pas preuve de fausse modestie en tortillant du cul comme si je me sentais incapable ou ne désirais pas accéder à la fonction suprême, mais je ne trouverais aucune consécration ou valorisation personnelle à diriger mon propre pays. Je prendrais simplement mes responsabilités.

Et si ça n’était « qu’un » poste de ministre, lequel je prendrais ? L’intérieur, assurément ! En réalité, le plus savoureux (et difficile) serait les affaires étrangères, mais celui où je vois mille possibilités de déployer une certaine idée de la démocratie et du caractère protecteur de l’État, c’est bien le ministère de l’intérieur. Et quel genre de ministre ou président je serais dans ce cas ? Un peu rigide et froid l’essentiel du temps, volontiers taquin avec les journalistes lorsqu’ils oseraient émettre une question ou opinion que je trouverais stupide, autoritaire auprès de mes subalternes, c’est certain, mais tout de même à l’écoute de la population et de mes contradicteurs (surtout ces derniers) pour peser au mieux mes politiques publiques. Et au nom de quoi serais-je apte à prétendre à de si hautes fonctions ? Je ne suis ni un Pic de Mirandole, ni la quintessence de l’intelligence faite Homme mais je ne suis pas le dernier des crétins non plus. Et puis lorsque je constate le niveau actuel de notre représentation politique, je ne peux qu’être rassuré sur les risques que je ferais peser sur la France au regard de mes propres capacités. Chaque fois que je doute de moi, il me suffit d’écouter Aurore Bergé ou Emmanuel Macron, lui-même, pour me dire que je suis en fait un type merveilleusement intelligent. Alors qu’en réalité, je suis sans doute légèrement au-dessus de « la moyenne », mais très loin de pouvoir me comparer à des immensités intellectuelles. Quand on est représenté par des débiles mentaux, même le plus « moyen » des Français peut s’estimer capable de faire mieux que cette horde de guignols.

Bon, sinon, cette page blanche, cela avance ? Toujours pas en vérité ! Je digresse déjà sur une absence de sujet de fond mais rien de plus ne me vient, sauf l’idée qu’il serait sage de laisser les choses en suspens et revenir à mon clavier lorsque j’aurais enfin quelque chose à raconter. Z’auriez pas un sujet M’sieur, dame ? Je voudrais pas vous faire l’aumône de quelques inspirations, mais toutes mes muses s’en sont allées. Très sérieusement ! Offrez moi le sujet inattendu pour que je m’épanche en bourrinant mon clavier jusqu’au point final de ma réflexion, et vous contribuerez à soulager ma conscience d’un non-dit auquel je n’avais pas encore pensé. Je peux pour le moins m’estimer satisfait, voila deux pages de noircies, même pour ne rien dire de substantiel, mais je suis parvenu à faire la nique à cette salope de page blanche. Je l’ai vaincue la diablesse ! Il suffisait de se laisser aller. Jusqu’au prochain sujet. A votre bon cœur messieurs, dames, vous serez peut-être la cause de ma prochaine publication ! Vous n’aurez que des mots en remerciements, je n’ai pas autre chose à vous offrir. Enfin pour le moment...

jeudi 8 juin 2023

Le procès de l'Union européenne approche !

Le 3 juillet prochain, se déroulera au tribunal judiciaire d’Epinal, rien de moins que le procès de l’Union européenne et, plus encore, des traîtres qui promeuvent l’idéologie à l’origine de son institution. Et pour cela, je vous appelle immédiatement à soutenir le décrocheur dont nous allons parler ci-après, en cliquant sur le lien ici afin d’y verser votre obole, même symbolique. Cela en vue de régler les honoraires de l’avocat qui assurera sa défense. N’oubliez jamais que les petits ruisseaux sont la source des grands fleuves.

Frédéric Mathieu est un habitant du département des Vosges. Ancien de l'armée française, sapeur-pompier aujourd’hui, il sera soumis au jugement d’un tribunal pour avoir gravement porté atteinte au symbole de la trahison de Lisbonne, cela en décrochant une bannière étoilée de son support afin que seul le drapeau tricolore reste apparent. Frédéric n’a évidemment rien d’un délinquant ou d’un criminel, son acte relève d’avantage de ses convictions politiques.

Bien entendu, personne n’imagine décrocher un drapeau européen dans un objectif de revente de ce dernier. D’abord les exaltés de l’Union européenne représentent un marché de niche extrêmement réduit. Plus embourgeoisé que sans-dent dans sa classe sociale, le faible coût au prix du neuf d’une étoffe en nylon de quelques dizaines de centimètres carré, n’inspire nullement le besoin pour l’européïste patenté de s’approvisionner sur le marché noir du torchon européen. D’ailleurs, vous conviendrez qu’il se trouve peu d’européïstes pour pavoiser le fronton de leur maison du symbole de leur nouvelle URSS. Pour quelle raison selon vous ? Quand on prône avec des trémolos dans la voix les sacro-saintes valeurs de l’Union européenne mais que l’on se garde bien de prévenir son voisinage de ses propres convictions, n’y a-t-il pas comme une retenue qui ne pourrait s’expliquer que par la honte ?

N’est-il pas, en effet, un positionnement honteux que de militer pour l’abolition de la souveraineté et l’indépendance nationale de son propre peuple ? Dans le droit comme dans la morale populaire, n’est-ce pas cela que l’on qualifie de trahison ?

Oui, l’européïste est un traître honteux qui préfère imposer son idéologie par l’entremise des grands médias et d’un législateur faisant fi du consentement populaire à la démolition de notre propre pays, plutôt que de s’en gargariser ostensiblement depuis le fronton de sa propre maison. Pourquoi se fâcher avec un voisinage cultivant, sans le dire, une douteuse préférence nationale alors qu’il est bien plus simple et, en apparence légal et démocratique, que d’imposer à la collectivité publique de d’assurer le financement du fanion européïste ainsi que son pavoisement sur les frontons des écoles et mairies ? Ainsi, ce salaud de gueux qui avait voté contre le traité constitutionnel européen en 2005 et qui voterait bien volontiers en faveur de la démolition des institutions de Bruxelles si on le consultait par référendum à ce sujet, saura que son opinion n’a nullement le droit de cité, quand bien même elle est majoritaire.

Les opinions particulières, minoritaires et profondément hostiles à la souveraineté nationale des européïstes doivent être légalisées et martelées sur le champs médiatico-politique. Toute opposition, quand bien même majoritaire, se devra d’être qualifiée de « complotiste », « démagogique » voire « d’extrême droite » afin que l’effet salissant soit total.

Aussi, lorsque des résistants décrochaient la croix gammée de l’espace public durant l’occupation allemande ou, qu’ailleurs, d’autres décrochaient le drapeau soviétique symbolisant le mépris de la Liberté des peuples à disposer d’eux-mêmes, ce ne fut qu’à la restauration de l’indépendance nationale de leur propre pays, que l’on cessa de qualifier ces gens de voleurs ou même de terroristes avant de reconnaître, enfin, la valeur de leur geste hautement patriotique.

Si d’ailleurs, l’on se faire une idée de ce qui peut-être fait ou non s’agissant du respect du drapeau national, on apprendra que le 27 juillet 2005, le Conseil d’État édictait que : le principe de neutralité des services publics s’oppose à ce que soient apposés sur les édifices publics des signes symbolisant la revendication d’opinions politiques, religieuses ou philosophiques particulières.

Cette décision du Conseil d’État, reprend au final les valeurs de neutralité républicaine du service public qu’une circulaire datant du 27 Octobre 1970 rappelait sur le même sujet. Elle était rédigée comme suit :

« les exhibitions sur la voie publique d’insignes ou d’emblèmes associés aux couleurs nationales, sont d’une manière générale, de nature à compromettre la sûreté et la tranquillité publique ; elles peuvent donc être interdites et que : [...] L’éventualité de l’exhibition ou l’utilisation, sur la voie publique, de l’emblème national, associé à des emblèmes ou insignes présentant un caractère politique ou religieux soit lors de cortèges, défilés et rassemblements, soit lors de quêtes, dans des conditions de nature à entraîner de la part d’une catégorie de citoyens, des réactions créatrices de troubles de l’ordre public, doit conduire les Maires à refuser d’autoriser ou à interdire la quête ou manifestation envisagée »

Par ailleurs, la France n’a nullement reconnu l’emblème européen que ce soit dans notre Constitution, mais aussi dans le traité de Lisbonne lui-même, puisque l’article 52 des déclarations annexées au traité sur le fonctionnement de l’Union européenne portant reconnaissance aux symboles de l’institution (le drapeau européen, la journée du 9 mai, l’euro et l’hymne européen) n’a pas été ratifié par la France.

Aussi, actons que les macronistes n’ignorent nullement la volonté générale du peuple français quant à se désincarcérer des institutions de l’UE. Ainsi, le 20 janvier 2018, Emmanuel Macron, révélait à la BBC « qu’en cas de vote pour ou contre la sortie de l'Union européenne, la France aurait "probablement, dans un contexte similaire", voté pour la sortie, comme l'a fait la Grande-Bretagne en juin 2016

Est-ce qu’Emmanuel Macron en a tiré la conclusion démocratique qui s’imposait, à savoir, consulter le peuple par référendum sur la sortie de l’Union européenne et de l’euro ?

Non, depuis que les banquiers et journalistes l’ont catapulté Président de la République, il ne cesse de vouloir défaire les reliquats de notre indépendance nationale pour les confier tour à tour à Bruxelles, Berlin ou Washington. Depuis l’ère Giscard D’estaing, que ce soit dans la haute fonction publique, le gouvernement ou le parlement, la France est gouvernée par des traîtres. De véritable collabos qui, avec une hargne incommensurable, défont par la politique des petits pas, la souveraineté de la nation sur l’autel de l’UE et l’OTAN.

Les élites intellectuelles et politiques, favorables à la cause du peuple et à sa souveraineté, sont au mieux diffamées par l’ensemble du microcosme médiatique français, au pire littéralement censurées. On nous impose le fanion européen jusque sur les frontons des écoles non sans y adjoindre une violente propagande européïste distillée par les enseignants eux-mêmes à des gamins qui n’ont nullement l’âge de produire un raisonnement critique sur les atteintes à leur souveraineté.

Aussi, rien d’étonnant à ce que des traîtres se prétendant députés de la nation, aient déposé récemment une proposition de loi visant à rendre obligatoire le pavoisement du drapeau européen sur les frontons des mairies. Ces gens là méprisent la démocratie et plus encore la souveraineté de la nation. Dans la République des copains, il ne sera jamais question de consulter le peuple ou du moins de se soumettre à sa volonté générale. Lorsqu’il s’agit de nous imposer le symbole de leur idéologie aussi extrémiste que minoritaire, les européïstes que l’on retrouve, bien sur, chez les caniches de la Macronie, mais aussi chez EELV, LR, Centre/Modem ou au PS, pactisent bien volontiers contre le droit à l’auto-détermination du peuple français.

La Résistance, pour nous, doit en conséquence s’articuler sur un vaste plan de reconquête nationale. Reconquête des médias collabos en les assiégeant littéralement. Reconquête de la Justice par l’institution de tribunaux populaires ouvrant les procès que la Justice régulière se refuse à organiser contre les puissants. Reconquête de la monnaie en rebaptisant FRANCS nos billets de banque avec un simple stylo, voire un coup de tampon. Reconquête du seul symbole de notre unité, de notre souveraineté et de notre indépendance nationale en décrochant les symboles européïstes qui le souillent en étant pavoisés aux côtés du drapeau tricolore, ainsi que leur restitution aux mairies, au parlement, à l’Elysée ou encore au gouvernement. La Révolution est une œuvre qui se se conduit tout azimuts avec des objectifs précis, calculés pour nuire gravement à l’adversaire, que ce soit dans son moral, sa communication et plus encore sa légitimité à nous gouverner. Un gouvernement se renverse aussi par la politique des petits pas, et l’un d’entre-eux consiste à décrocher les drapeaux européens de leur support et les restituer aux traîtres qui promeuvent l’UE contre la souveraineté du peuple français.

Un autre consiste à soutenir les Décrocheurs lorsqu’ils font face à la Justice et leur donner les moyens d’invoquer leurs arguments depuis le tribunal d’instance jusqu’à la cour de cassation s’il le faut, et même en passant par la Cour Européenne des Droits de l’Homme qui reconnaît dans les interprétations de ses propres juristes que « la liberté d’expression » protégée par l’article 10 de la Convention européenne des Droits de l’Homme ne se limite pas à des mots, écrits ou prononcés, mais s’étend aux tableaux, images et actions visant à exprimer une idée ou à présenter une information. Les juristes de l’Union européenne ont en effet une grille de lecture très anglo-saxonne sur le respect de la liberté d’expression et les formes qu’elle peut revêtir. Ainsi, ils se sont peut-être appuyés sur un arrêt rendu le 21 Juin 1989 par la Cour Suprême des USA dans l'affaire Texas V.

Johnson. Selon a plus haute autorité judiciaire des États-Unis : les lois condamnant la profanation du drapeau, alors en vigueur dans les 48 États, sont incompatibles avec le premier amendement et à la Constitution fédérale interdisant au Congrès de limiter la Liberté d'expression.

A l’inverse des Américains, la plupart des Français considèrent que porter atteinte au drapeau national, en toutes façons, y compris en lui associant des emblèmes symbolisant une idéologie ou croyance particulière, demeure un délit de lèse-nation ne pouvant rester impuni. En revanche, que l’on questionne le peuple sur ses sentiments lorsqu’un drapeau européen est décroché de son support ? Croyez-vous que la majorité des Français s’étant exprimé contre l’Union européenne en 2005 se désole ou, bien au contraire, se réjouisse de toute atteinte faite à une institution qui abolit leur souveraineté et méprise même leurs choix référendaires ? Soyons plus hardis encore dans l’interrogation : Si demain nous apprenions que les bâtiments de la Commission européenne et de la BCE se seraient effondrés dans la nuit, cela même avec quelques pertes humaines à déplorer, croyez-vous que les Français pleureraient la disparition des institutions totalitaires de l’Union européenne ou que nombreux célébreraient la nouvelle comme une libération nationale ?

Le fait de décrocher un symbole de son support est une façon de communiquer une opinion. Une opinion faisant valoir avec toute sa radicalité, l’hostilité que l’on porte au symbole ici attaqué. L’Union européenne tient à se donner les apparences d’un État pour subvertir la souveraineté même du peuple français à ses propres institutions, il est du droit et même du devoir des Français que de résister et repousser l’ennemi de toutes les façons possibles. Décrocher son étendard de l’espace public n’est qu’une forme d’expression qui se veut à la fois hautement symbolique, pratique et pacifique. Décrocher un torchon européïste, c’est rappeler aux traîtres à la patrie qui faisant propagande en faveur de l’Union européenne, que nous ne laisserons pas ces néovichystes nous soumettre à nouveau à toute forme de suzeraineté étrangère. Décrocher un torchon étoilé, c’est assurément revendiquer le droit du peuple français à conserver son auto-détermination politique.

Contrairement aux exaltés de la bannière étoilée, nous ne sommes ni les larbins de Bruxelles, pas plus que de Berlin ou Washington. C’est bien la ligne juridique que les Décrocheurs ont tout intérêt à défendre. Nous pourrions invoquer le droit de résistance à l’oppression, insister sur le caractère illicite du drapeau européen ou encore faire reconnaître par l’absurde que décrocher un drapeau européen ne peut nullement être qualifié de « vol » sauf à vouloir faire preuve d’une mauvaise foi ostensible pour le magistrat ayant à examiner le fonds du dossier. C’est pourtant la Liberté d’expression que nous comptons invoquer au même titre que décrocher un portrait de l’usurpateur élyséen dans une mairie, signifie en substance faire valoir son rejet clair et ostensible du traître au pouvoir. C’est un message non verbalisé et qui, pourtant, ne manque pas de clarté. Par «l’effacement » de l’image du despote ou du symbole de son idéologie qu’il nous impose, ce qui est qualifié parfois d’outrage, souvent de vol et quelques fois de « recel » sont des accusations manifestement disproportionnées du procureur de la République, bien ennuyé de devoir faire face à l’humeur de la population sur les choix et personnalités politiques qui sont imposés au peuple par une petite poignée d’intérêts industriels, financiers et journalistiques conjuguant leurs efforts contre la souveraineté du peuple.

Pour toutes ces raisons, il est essentiel de soutenir les activistes qui se battent contre Emmanuel Macron, le gouvernement et l’ensemble des acteurs qui veulent maintenir la France enfermée dans l’Union européenne. Vous pouvez décrocher des drapeaux européens de leur support est les restituer à tout politicien que vous souhaiterez. Vous pouvez aussi permettre à nos camarades tout aussi fauchés que la plupart d’entre nous, en les aidant à régler leurs frais d’avocat pour qu’ils ne se concentrent que sur leurs arguments à invoquer au tribunal.

Frédéric a eu le courage de faire ce que de très nombreux dissidents (pourtant très hostiles à l’Union européenne) se refusent de faire eux-mêmes. Nous avons le devoir de porter assistance à nos camarades ouvrant le chemin pour nous. Aussi, je vous encourage à verser un don, même symbolique de votre point de vue, sur la cagnotte dont le lien suit cette publication.