dimanche 8 mai 2016

Du plébiscite d'un Gouvernement de Transition


Le mercredi 4 Mai dernier, s'est tenue une réunion sur mumble d'une quinzaine de citoyens ne revendiquant aucun étiquetage partisan, ni une référence idéologique ou politique particulière, et s'étant donnés pour mission de soumettre à notre plébiscite, un certain nombre de citoyens remarquables pour leurs travaux, expériences ou compétences sur lesquels s'appuyer pour former un Gouvernement de Transition.

Comme je suis conscient que je ne peux expliquer l'ensemble d'un processus tant intellectuel que réellement insurrectionnel nous amenant à considérer qu'il serait aussi pertinent qu'urgent de nous intéresser aux personnes à qui l'on doit confier un mandat, je vous propose de prendre le temps d'écouter cet enregistrement d'une conférence donnée sur Mumble, qui en résumera les grandes lignes. Pour aller plus loin, je vous recommande dans ce cas de télécharger mon essai, qui bien que souffrant sans nul doute de mon amateurisme tant dans la forme que le fond, n'en reste pas moins correctement sourcé pour qui tient à s'informer correctement sur ses droits et les moyens dont elle ou il dispose pour résister collectivement et sans violence à une tyrannie en France. 

Si vous me découvrez, dites vous simplement que je suis un activiste qui me suis formé un peu en amateur au droit pénal, constitutionnel et international. Mes compétences sont très limitées et mon interprétation des lois reste soumise à l'expertise réelle des juristes, magistrats et avocats dont nous avons tant besoin pour créer cette résistance. Ceci est un appel non dissimulé à votre expérience professionnelle ou vos relations...

Cette Résistance se doit en premier acte, de juger publiquement notre oligarchie - en commençant par son sommet institutionnel en exercice - pour démontrer par les faits et la loi, que le peuple est bien trahi par une Tyrannie, au sens de la définition qu'en donnent les textes fondamentaux mais aussi le Code Pénal. Si nous sommes bien tous d'accord pour accepter qu'un Traître à la tête de l'Etat est par défaut un Tyran, nous sommes donc bien d'accord sur le fait que nous sommes sous le joug d'une tyrannie qu'importe les images d'Epinal que nous nous dessinons autour de ce mot. Le Traître au sens du droit pénal, agit contre les intérêts fondamentaux de la nation (qui existent bel et bien) au profit d'une puissance étrangère. Le Traître est un vulgaire larbin en somme. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que François Hollande n'a cessé de se conduire en toutou servile pour le compte d'au moins trois puissances étrangères avec un zèle proprement ahurissant vis à vis des intérêts étasuniens et israéliens. Cela encore une fois, au détriment de nos intérêts fondamentaux. L'un des crimes de Haute Trahison dont on peut accuser François Hollande, pourrait conduire celui-ci à croupir en prison jusqu'à la fin de ses jours, s'il devait être jugé par un Magistrat sévère. Mais un tel procès institutionnel n'interviendra pas. 

Pour qu'advienne le procès de l'actuel président de la République, il faut préalablement reconnaître que dans les circonstances actuelles, ni l'institution judiciaire telle que nous la connaissons, ni les parlementaires dont nous écopons, ne souhaiteront organiser dans les plus brefs délais la proclamation de la Haute Cour de la République pour juger le président de la République et d'une partie de son Gouvernement pour Haute Trahison...

Article 16 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 :

"Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution".

Lorsqu'une Société est malade au point que les institutions dont elle s'est dotée au travers de son histoire constitutionnelle, ne permettent pour autant pas à celles-ci d'opposer au pouvoir exécutif une contrainte forte, alors les citoyens feront naturellement preuve de créativité pour imaginer un nouveau cycle institutionnel. C'est particulièrement le cas avec la France, puisque nos humeurs révolutionnaires ont débouché sur près d'une dizaine de constitution en moins de deux siècles. Cette fréquence de changement de cycle constitutionnel est une caractéristique assez peu partagée dans le Monde. Les Français sont à la foi des révolutionnaires convaincus et des passionnés de Droit. En ce nouveau millénaire déjà un peu entamé, ce nouveau cycle redémarre avec les Citoyens Constituants qui sous l'égide d'Etienne Chouard, tentent de penser les normes communes futures, et plus encore une méthodologie pour rendre ce processus pleinement participatif. En soi, tant parce que les intentions de ces primo-rédacteurs sont bienveillantes, que parce que l’avènement d'internet permettra les échanges et le contrôle populaire des travaux constituants, cela augure tout de bon s'agissant des institutions future de la France. Car cette constituante aura été ouverte à la participation du peuple comme jamais par le passé.

Cependant, cette nécessité démocratique pour établir notre Société future est justement l'objectif à atteindre, non le commencement. Pour former des citoyens constituants, il faut déjà les former au droit constitutionnel et pénal, voir international leur permettant de comprendre quels sont leurs droits déjà existants dans l'arsenal juridique auquel la France est rattachée. Quels sont aussi les crimes qui sont propres à nos mandataires politiques. Quelles lois les punissent ?

Voila pourquoi il revient aux citoyens les plus investis à établir une Constituante dans toutes les municipalités de France, d'apprendre déjà à se battre avec les textes existants. A quoi bon rédiger une nouvelle constitution, si l'on se désintéresse du droit existant aujourd'hui permettant au peuple d'opposer sa résistance à la Tyrannie ? Pour penser correctement l'architecture d'une constitution, il est nécessaire d'expérimenter déjà un peu le droit connu. Il est extrêmement riche et peut nous inspirer. Mais surtout, il est déjà opposable car écrit et reconnu. Dans cinquante ans, peut-être que nos enfants et petits enfants se sentiront trahis par un nouveau tyrans malgré la constitution démocratique que nous leur avions léguée. Mais combien d'entre eux parleront de rédiger une nouvelle constitution comme nous, sans regarder au moins les lois de l'actuelle et des traités et codes que nous aurions déjà voté pour leur garantir des gardes-fous supplémentaires ? 

Quand on veut réellement se donner les moyens de penser certains titres de la constitution future avec une vision aussi large que précise sur certains sujets, il faut s'habituer à expérimenter le droit. Moins de 10 articles de loi, traités, ou constitution permettent déjà de dresser les contours de nos droits. Moins d'une trentaine permettent de comprendre globalement le fonctionnement du système économique et géopolitique dans lequel nous sommes écrasés. Moins de 10 lois permettent de légitimer notre insurrection et destituer le gouvernement. Pourquoi parlons nous d'une meilleure constitution à rédiger, alors que l'ordre juridique actuel est tout à fait satisfaisant à nos nécessités ? 

Défendons-nous avec les lois, dès maintenant !

Il faut commencer par réunir les faits incriminant l'autorité politique et militaire suprême du pays (on ne perd pas de temps avec les habituels crimes de corruption de nos députés, on vise le pouvoir exécutif) au travers de dossiers de presse constitués progressivement et d'informations officielles du Gouvernement. Les médias utilisés pour établir les faits dans leur progression chronologique, sont les grands journaux et grands médias publics et privés de préférence, ou les blogs spécialisés et toujours bien sourcés. 

Article 5 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 :

"La Loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas"

A défaut d'une petite armée d'avocats et de magistrats bénévoles, en plus de quelques comédiens de théâtre pour mettre en scène ces procès publics, il nous faut des juristes amateurs. Vous pouvez commencer par utiliser le site légifrance pour faire le lien entre un fait et une loi qui le réprime, mais si par votre profession ou votre expérience de vie, vous disposez d'un Code Pénal à domicile, n'hésitez pas à le consulter, il y a toujours un certain nombre de précédents juridiques relatés pour nous faire une idée des interprétations possibles d'une loi. 

A partir d'au moins un crime - et j'en ai comptabilisé au moins 4 qui sont imputables à François Hollande - nous pouvons expliquer une affaire qui a été "glissée sous le tapis" politico-médiatique, car quelque peu gênante pour certains intérêts, alors qu'elle aurait dû retenir notre attention si nous étions tous éduqués à devenir des citoyens vigilants. L'école, le système médiatique et le climat social actuel laissent sur le bas côté le petit tiers de citoyens qui, indépendamment de leur infortune et de la fabrique des idiots, n'en restent pas moins alertes et sensibles à ce genre d'informations tandis qu'une écrasante majorité subit les mêmes miasmes sociétaux dans l'apathie et l'essentialisation de ses centres d'intérêts à tout ce qui est périphérique au Commun. Les marginaux à l'ère du désarmement intellectuel de la nation, sont ceux qui demeurent des êtres politiques envers et contre tout et sont donc par défaut, tous sensibles à la question du Commun. La politique étant l'art d'établir des normes visant à établir une Société meilleure, en Démocratie, elle suppose le fait que le peuple est impliqué dans la rédaction et le vote de ses propres normes, et donc en quête d'une Destinée collective. Or nous ne sommes pas habitués à la Démocratie, nous ne l'avons jamais expérimenté, et nous mystifions même le Demos pour ceux qui la théorisent. Car le Peuple a sa part de cons finis, d'abrutis consanguins, d'imbéciles résolus, de haineux irascibles, de poufs totalement superficielles, de kékés qui sont leur strict alters-ego masculins, etc, etc, etc...

Nous en connaissons tous. Inutile de nous en cacher puisque chacun d'entre nous sommes capables de nous montrer totalement idiots lorsque nous ne sommes pas carrément sous la contrainte de nos propres psychoses et névroses dans certaines situations. Le peuple est une pluralité d'êtres humains avec leur histoire, leur caractère et dont les prédispositions à l'auto-éducation à tout un ensemble de disciplines intellectuelles, sont très inégalement partagées. L'Egalité n'existe pas factuellement à tous les niveaux. La politique - particulièrement en Démocratie - vise à réduire par tous les moyens cette inégalité par le haut. Tout progrès démocratique réel, ne peut être que l’héritage d'une bienveillance dans les motivations qui ont conduit une petite fraction du peuple à arracher aux puissants le dit-progrès, parfois au prix du sang. Mais que l'on cesse de tout attendre du peuple en le mystifiant. L'écrasante majorité de celui-ci que ce soit par bêtise ou par une ignorance volontariste, se désintéressera de nos discussions en cercles fermés. Nous sommes une MINORITÉ de marginaux réfléchissant à la politique et sauf si nous changeons nous-mêmes les choses, nous sommes condamnés à rester une minorité. Nous devons l'assumer ! Et s'agissant de ceux qui continuent de méditer la question politique à partir des routes divergentes et balisées des partis, sont à un stade intermédiaire du désir de renverser le Système établi. Ils ne sont ni laïcs ni révolutionnaires.

Ceux qui préfèrent rester libres de leurs opinions et expressions politiques se comportent déjà en citoyens laïcs quoi-que pour certains, croyant (religieusement) au peuple. La non partisanerie est la forme avancée du principe de laïcité. Ce principe ne peut être sanctuarisé aux seules croyances confessionnelles pour être bien compris.

La minorité intellectuelle et laïque, croyant au peuple mais ne le mystifiant plus pour autant, croit alors en la Révolution et s'y attelle. Et nous sommes potentiellement déjà quelques milliers...

C'est à ceux-là que nous nous adressons dans un premier temps, avec Dominique Normand du C.N.C, mais aussi en compagnie de bien d'autres citoyens qui s'activent discrètement à poser les premiers jalons. Nous souhaitons simplement respecter l'ordre logique conduisant au renversement d'une autorité politique suprême (et le système attenant) sans attendre le soutien du peuple tout entier, et nous ne voulons pas laisser les rênes du pouvoir à toute instance qui ne serait pas sous contrôle direct des Français. Il y a bel et bien un ordre à respecter si l'on tient à conserver le contrôle d'une révolution. La première étape est la destruction méthodique - et autant que possible juridique - de l'autorité du chef de l'Etat contesté. La seconde est la mobilisation populaire pour le pousser à la démission. La troisième est le remplacement de son gouvernement par celui des insurgés. Ce qui implique de réfléchir à la dernière étape avant même d'y parvenir. C'est dans ce cadre que nous vous proposons de nous rejoindre tous les mercredi soirs à partir de 21 h sur Mumble. Les informations de connexion sont ci-jointes :



Dans cet exercice vous aurez l'occasion de plébisciter les personnes pouvant être nommées aux différents Ministères au sein d'un Gouvernement de Transition Démocratique. Je vous préciserai plus bas les premiers noms qui sont tombés pour chacun des Ministères à créer et à imposer au président du Sénat, qui selon les termes de l'article 7 de notre actuelle constitution, assurera la vacance du chef de l'Etat démis de ses fonctions. Chaque fois que nous formerons une assemblée physique (sur places publiques ou dans des salles dédiées) ou via les canaux numériques (forum, Mumble, site du C.N.C) ; nous laisserons deux minutes à chaque citoyen pour plébisciter une personnalité qui œuvrerait sans nul doute dans l'intérêt général si nous lui confiions la charge d'un Ministère.

Dès lors que nous proposons des noms de ministrables, il devient impératif de prévoir les garde-fous que l'on veut donner au peuple pour en garder le contrôle. Dans ce cadre, les citoyens constituants pourraient nous aider en rédigeant une constitution provisoire permettant par exemple d'inclure le référendum d'initiative populaire révocatoire, le mandat impératif (que tous les citoyens qui le souhaitent pourront contribuer à rédiger) et la durée de ce mandat. Il y a aussi une réflexion à apporter sur les modes de votation pour distinguer les personnes plébiscitées entre elles. Nous pouvons effectivement en apprécier plusieurs, et souhaiter ne pas vouloir voter que pour une personnalité, quand bien même ce vote pourrait évoluer au cours du temps (jusqu'à la clôture des scrutins). Toujours est-il que s'agissant du régalien, et particulièrement s'agissant du Ministère des Affaires Etrangères ; le Ministère de la Défense et le Ministère de l'Intérieur, il est une nécessité absolue pour le bon fonctionnement des institutions liées, de ne disposer que d'une personnalité retenue à la clôture des scrutins. Les militaires, policiers et diplomates se réfèrent à un système pyramidal non par choix, mais sous la contrainte de leurs nécessités professionnelles. Ce sont des institutions où nos référents doivent être uniques et endosser l'irresponsabilité des fonctionnaires et militaires qui agissent sous leur autorité. La clôture des scrutins interviendra nécessairement avant la fin du mandat de François Hollande et votre investissement est donc nécessaire pour gagner en célérité.

Voici les noms des personnalités qui ont été proposés lors du premier exercice de Désignation Populaire sur Mumble, pour chacun des Ministères. Nous espérons que vous nous rejoindrez pour ajouter d'autres noms et voter entre différentes personnalités. Je rappelle à ce stade qu'il est strictement interdit d'être candidat à un quelconque mandat dans ce processus. Nous ne pouvons être investis que par des citoyens, et notre consentement ne sera réclamé que peu avant la clôture du Scrutin Public. Il s'agit pour le moment de trouver des référents pour interagir avec les institutions régaliennes du pays, les ambassades étrangères, l'ONU, les médias et la Justice. Dans un second temps, il auront vocation à gouverner le pays sous l'empire d'un mandat impératif et d'une constitution leur permettant d'assainir avec toute la force que permet leurs fonctions, tout en restant assujettis à la vigilance du peuple à chaque instant de leur mandat :

Exercice de Désignation Populaire du 5 Mai
Liste des citoyens plébiscités :

>>> Régalien :

1) Ministère des affaires étrangères.


- Marie France Garaud
- François Asselineau 
- Pascal Boniface
- Alain Chouet 
- Pierre Hillard
- Bernard Lugan

2) Ministère de la Défense

4) Ministère des Outre-Mer

- Patrick Collet
- Jacques Dancale
- Alain Plaisir
- Max Mathiasin

5) Ministère de la Justice

- François Dangléant
- Renaud Van Ruymbéké
- Fabrice Bonnard
- Eric Dupont Moretti
- Eva Joly 

>>> Économie :

6) Ministère de l’Agriculture, de la pêche, des forêts et de la biodiversité

- Nicolas Hulot 
- Pierre Rhabbi
- Claude Bourguignon
- José Bové
- Gilles-Eric Séralini 
- Lionel Astruc
- Marc Dufumier

7) Ministère de l’Industrie à l'Energie


- Jean Marc Jancovici
- Jacques Cheminade
- Xavier Fontanet 
- Jacques Nikonoff 
- Jean-Paul Bibérian 
- Jean Pierre Petit

8) Ministère de l’Economie et des Finances


- Etienne Chouard 
- Bernard Friot 
- Thomas Piketty 
- Jacques Sapir 
- Carole Fabre
- Charles Gave


9) Banque de France (Gouverneur)


- Vincent Brousseau
- Gabriel Rabhi
- Philippe Askenazy
- Simone Wapler
- Jacques Sapir 
- Gerard Foucher

>>> Éducation / Médias :

10) Ministère de l’Instruction Publique et l'enseignement supérieur

- Franck Lepage
- Annie Lacroix Riz 
- Céline Fabre
- Céline Alvarez 
- Michel Onfray

11) Ministère de la Culture, aux médias et aux technologies numériques

- Jérémie Zimmermann
- Alexandre Astier
- Franck Lepage 
- Franck Rebillard
- Edgar Morin 
- Pierre Jovanovic 
- François Ruffin 

12) Cour Supérieure de l’Audio-Visuel.

- Michel Collon
- Denis Robert 
- Thierry Meyssan 
- Elise Lucet 
- François Ruffin
- Patrick D'Hondt (Tepa) 
- Raphaël Berland

>>> Santé :

13) Ministère de la Santé

- Dr Irène Frachon 
- Henri Joyeux
- Philippe Even
- Jean-Jacques Charbonier 
- Henri Joseph 
- Claire Séverac

14) Ministère des Affaires Sociales, de l'Emploi, du Logement et de l'Urbanisme

- Bernard Friot 
- Alexandre Jardin
- Thierry Kuhn
- Gérard Filoche 













2 commentaires:

  1. Déjà, pour l'avenir on peut partir de la constitution actuelle, à laquelle on apporte des modifications, en voici un exemple, motivé par deux pages de considérations.

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  2. A propos du changement "par le haut" ou "par le bas", voici un discours brillant de Fabrice Hadjadj qui peut faire beaucoup de bien. Si vous en êtes convaincu, merci de le faire "rayonner" autour de vous. Fabrice Hadjadj est un proche de la revue Limite, trimestriel d'écologie intégrale fondé en septembre 2015, dans laquelle il tient un grand éditorial. Il se présente comme juif de nom arabe de confession catholique. Tout un programme. Sa vision me semble compatible avec celle de la laïcité. Discours et infos sur : http://trodetou.blogspot.be/2016/05/conference-de-fabrice-hadjadj-pour-le.html

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